Le 25 juillet 2017, l'UNION DES COMORES a signé la convention d'adhésion au sytème de mutualisation du réseau CIOA, en faveur de la modernisation du pays. Léon Lucide, fondateur et président du Groupe CIOA, appelle les adhérents à se mobiliser pour accompagner le pays et saisir les opportunités.

Message aux membres du réseau CIOA

" Ce mardi 25 juillet 2017, a été signée entre l’Union des Comores représenté par son Ministre des Finances, Monsieur Saïd Ali Saïd CHAYHANE, et Léon LUCIDE, Président du Groupe CIOA, la convention d’adhésion du pays au système de mutualisation de CIOA.
Outre l’apport de ses ressources au gouvernement du pays, pour son propre usage, et celui de ses entreprises publiques et privées, CIOA va porter son assistance stratégique, financière et opérationnelle aux autorités du pays pour l'élaboration et la mise en œuvre des politiques publiques en vue de l’émergence des Comores d'ici 2030.

Le « Programme Socle », (plan d'action prioritaire proposé par CIOA), doit démarrer sans délai.
Il concerne la réalisation d’infrastructures routières, la mise en place de moyens constructifs innovants pour la construction de bâtiments publics et de logements sociaux, le déploiement de services d'affaires et de services financiers pour les entreprises. Il est attendu de ce programme, la modernisation des structures de l'État, la dynamisation du secteur privé, et la création d’au moins 2 000 emplois.

Depuis son avènement au pouvoir il y a un an, le Président AZALI a fait montre d’une grande détermination pour sortir son pays du sous-développement, notamment, en réglant, un problème chronique dans toute l’Afrique, celui de la défaillance des infrastructures de production d’énergie (qui entraîne des délestages insupportables pour la population et les entreprises), combattu le paludisme au point de sa quasi éradication, lancé le chantier d’un Centre Hospitalier moderne de 600 lits, et attiré de nombreux investisseurs étrangers. "

Plus d'informations


A la sortie de l'audience accordée par le Chef de l'Etat
Au Palais Présidentiel Beit Salam, autour de Monsieur AZALI Assoumani, Président de la République de l’Union des Comores au Centre, à gauche Chantal Salinière, Vice présidente de CIOA, Monsieur Saïd Ali Saïd CHAYHANE, ministre des finances, à droite, Léon LUCIDE, président de CIOA et monsieur Hamadi IDAROUSSI, Secrétaire Général du Gouvernement. .

Les Premiers Appels à  candidatures
Apportez votre contribution pour la mise en oeuvre des actions prioritaires : téléchargez le  " Programme Socle ". 

  • Imprimerie nationale


Demande immédiate : la création d’une imprimerie pour les publications de l’Etat. Outre l'impression du journal d’Etat, cette imprimerie devra satisfaire aux besoins de l'administration en matière d'imprimés, réaliser les livres scolaires (importés jusque-là), et éventuellement servir le public. Il s'agit de rentabiliser cette structure dont le budget est essentiellement abondé par des subventions publiques.

Nous lançons donc un appel à expertise pour la maîtrise d'oeuvre et l'accompagnement du projet :

  • Etudier la rentabilisation du projet
  • Déterminer le cahier de charges de l'équipement
  • Assister la cellule de sourcing de CIOA pour Sélectionner le fournisseur mieux disant
  • Assister l'acquisition de l’équipement et superviser l’installation
  • Assurer avec le fournisseur le transfert de savoir-faire, le lancement et l'accompagnement de l'activité pendant 1 à 2 années

Si ces compétences existent chez vous ou dans votre réseau, merci de candidater.


    • Filière épices

L'Union des Comores est la Reine des épices. Sur cette terre volcanique, balayée par le vent, ensoleillée toute l'année, poussent naturellement clous de girofles, cumin, vanille, cannelle, safran, cardamone, muscade, curry, curcuma, poivres variés, gingembre.... à profusion. La main d'oeuvre n'est pas chère, et l'Etat facilite. Sur le marché international, les épices, depuis Marco Polo se consomment tous les jours d'avantage. 
Venez donc profiter de ces richesses que les Comoriens sont prêts à partager. Il faut si peu pour créer les conditions permettant d'organiser une filière viable.
Egalement, possibilité immédiate de développer une marketplace pour promouvoir toute la production du pays à l'international. Toutes les ressources technologiques vous sont fournies par CIOA.
 


    • Partenariat avec Entreprise de Génie Civil pour mise en œuvre plan de réalisation des infrastructures routières

Le désenclavement de toutes les régions du pays est une des priorités des autorités. 900 km de toutes nécessaires ont été recensés. Nous recherchons un partenaire disposant d’un parc machine pouvant être opérationnel sur place.


    • Partenaire opérationnel pour le déploiement de la filière construction

Les besoins principaux du pays dans ce domaine touchent à 2 secteurs prioritaires :

  • La réalisation de bâtiments pour l’État : locaux administratifs, locaux de sociétés publiques
  • Logements sociaux.
Le Programme Socle Comores planifie l’installation d’une unité de production de TITAN FACTORY (et d’autres unités de production de matériaux), dans le cadre d’un partenariat Public Privé. Opportunité pour partenaire technique et ou financier pour participer au déploiement de cette filière.


    • Centrale d’achat produits de première nécessité

Les importations représentaient en 2016, 90% des flux commerciaux import-export. L’essentiel de ce que consomme le pays est importé, et en attendant que le pays parvienne à assurer son autosuffisance, l’amélioration du niveau de vie de la population passe par une amélioration des conditions d’approvisionnement des canaux de diffusion domestiques. La Centrale d’achat de produits de première nécessité figure parmi les projets qu’il convient de réaliser promptement. Recherchons partenaire qualifié dans ce domaine.


    • Centrale d’achat de la construction

Il faut construire les Comores et la centrale d’achat du bâtiment est assurée d’un marché captif, consistant et porteur sur du long terme. Recherchons partenaire qualifié dans ce domaine.


    • Développement de la filière de ‘huiles essentielles’

L’Union des Comores est le territoire ou la flore est d’une générosité rare, où tout pousse naturellement. Un paradis pour la production d’essences tropicales biologiques. On connait le ylang-ylang, cette base des parfums, dont le pays est un des rares producteurs mondiaux, qui se vend près de 600 € le litre, mais les autres essences sont légions.
Partenaire recherché pour accompagner la filière huile essentielle (assistance des producteurs, distribution...)


    • Port en eau profonde

L’absence de port en eau profonde pour un pays comme les Comores est une double peine, car en plus de devoir importer, et se départir de ses devises comme dans un puit sans fond, la logistique d’importation coûte cher, (2 000 € de plus pour un container par rapport à Mayotte, proche d’un ¼ heure).
La construction d’un Port en eau profonde est un investissement viable qui va permettre en même temps, de rétribuer confortablement des investisseurs, autant qu’il contribuera à diminuer le coût des produits consommés.


    • Filière avicole

Le poulet se consomme tous les jours aux Comores : jours de fêtes, jours courants. Pourtant, plus de 90% du poulet consommé est importé. La filière avicole des Comores va couvrir toute la chaîne de production et de valorisation du poulet, jusqu'à la distribution.
Le Promoteur comorien est déjà sélectionné. Il dispose de terrains, de plus de 1 000 m2 de poulaillers construits, et bénéficie du Partenariat de CIOA. Le projet est dessiné .
Vous avez une expertise dans le secteur avicole, vous voulez investir ou vous investir en prenant le grand air. Nous vous invitons à vous  impliquer dans un projet à taille humaine tout en état à l'échelle du pays. 


    • Zone d’activités économiques

Créer de la richesse aux Comores et un challenge de prime abord, mais en réalité une démarche simplissime : un marché de 750 000 consommateurs que l'on peut toucher en une journée ! Un pays où tout est à produire pour satisfaire aux besoins des gens. Une société solidaire, pauvre, mais sans SDF, sans clochards. Une diaspora qui ne demande que de trouver sur place les infrastructures de développement élémentaires pour rentrer au pays. Des autorités volontaires, pragmatiques et accessibles. 
Dans ce contexte, 3,2 hectares vous attendent pour réaliser dans le cadre d'un Partenariat Public Privé, une zone d'activité de 123 lots pour la location et ou la vente pour un usage commercial et industriel. Nos capacité de construction sont mobilisables.
Idéal pour un promoteur et ou investisseur en quête d'une bonne affaire, loin de la morosité chiche des terres du Nord !